Cour d'appel de Nîmes

"La décision de la cour d'appel semble avoir été guidée davantage par des considérations subjectives que par une application impartiale du droit. Le karma existe..."

"Un juge des enfants partial qui a causé de grosses séquelles à une enfant déjà très traumatisée par des violences intra familiales, ainsi qu'à sa mère. Elle a dû réaugmenter des antidépresseurs qu'elle arrêtait à cause de lui et il le sait. Heureusement que nous changeons de département avec quand même en dernière audience juste un j'y suis peut-être allé un peu fort, finalement je pense le contraire de ce que j'affirme depuis 3 ans. On ne joue pas avec des vies, encore moins avec celle d'une enfant. Une honte pour notre justice."

"Avis remis ce Jour sur le site de la CA de Nîmes par le Lanceur d'Alertes couvert par la Défenseure des D Je relance la Cour d'Appel depuis 2014 sur conseil de la Témoin Citée Maitre Dalila Ben Derradji Avocate de Douai pour que soit traiter mes Plaintes Disciplinaires entre Avocats Adverses et en Délits d'Irrespect des Lois art 411 à419 du CPP et Pénales à l'encontre des Bâtonniers de l'Ardèche et d'Alès en connaissance des Délits qui ne respectent pas les Plaintes Disciplinaires et qui ne respectent pas les Obligations selon la Loi Pénale Art 40 du CPP d Aviser des Délits à leur Connaissance selon leur Désignation d'Officier Pénale 4 Personnalités Pénales Députés et Maires en ont avisé des Délits à leur connaissance les Procureurs de Douai et de Boulogne sur mer et 4 Ministres de la Justice ont été avisé par les Députés et selon le Jugement confirmé par la Cour d'Appel de Rennes la Personnalité Jugée de ses Obligations d'Aviser le Procureur à été estimée Complice des Délits à sa Connaissance Malgré la Réception des AR lus et datés je ne reçois pas les Confirmations des Traitements de mes Plaintes Disciplinaires et Pénales Le Premier President désigné en Dysfonctionnements et irrespect des Droits des Justiciables et le Procureur Général de la Cour d Appel de Nimes désigné en RECOURS ne respecte pas la Loi et les Décrets Disciplinaires et ne respecte pas les Obligations de Confirmer les Traitements des Plaintes Disciplinaires et les Plaintes Pénales en aggravant les Préjudices des VICTIMES depuis 2014"

"Audience devant le JAF mars 2025, le jugement devait être rendu fin mai nous sommes en juillet et on attends toujours le retour, je veux bien mais derrière il y a des conséquences pour les familles qui attendent ça pour organiser une vie surtout en ces périodes de vacances scolaire.... Et quand tu appelles a 8h50 personne te réponds ...."

"Il est 16h10, le Tribunal ferme à 16h30, j'appelle, personne ne répond. Ils sont déjà partis. Et après ils chialent c'est dur, on est surchargés, et oui, si tu pars tous les jours avant la fin de tes heures de travail, tu ne peux pas travailler assez."

"La dame a l'accueil on ce croit directement dans une prison ! Ne veut pas faire son travail !!!! Lamentable !!! Cheveux court avec des lunette... Elle me dis d'envoyer un email.. Alors que je suis sortie avec le papier grâce à une femme exceptionnelle juste dans un bureau à côté au service d'applications des peines !!! Merci beaucoup à cette femme qui est très gentille et qui fait le travail à la place des personnes consterné ! Estelle"

"Ouvre à 8h30 mais les personnes commence à travailler que à partir de 9h30 sûrement que il faut 1h pour bien se réveiller pour ensuite rester assis derrière un bureau bas oui sa fait mal au dos et le pire c que le responsable qui va lire sa sens foue autans que les personnes qui travaille là-bas ma foie …"

"Le Palais de Justice de Nîmes, qui abrite aujourd’hui la Cour d’appel, est un lieu chargé d’histoire et d’élégance architecturale. Chaque fois que je passe devant ce bâtiment imposant, je ressens le poids du passé et l’importance qu’il a pour la ville. Avant la Révolution française, cet emplacement accueillait la Maison du Roi, un lieu de pouvoir où résidait le commandant royal de la ville. Après sa destruction, il a fallu attendre 1805, sous Napoléon, pour qu’un véritable palais de justice voit le jour. Mais rapidement, il s’est avéré trop petit pour répondre aux besoins de la justice. C’est ainsi qu’en 1838, on a entrepris sa reconstruction, sous la direction de Gaston Bourdon. Ce nouveau bâtiment, achevé en 1846, est celui que nous connaissons aujourd’hui. Ce qui me fascine particulièrement dans cet édifice, c’est son style néoclassique, si typique du XIXᵉ siècle, avec ses lignes majestueuses et sa présence imposante. Il s’intègre parfaitement au paysage urbain, entre le boulevard de l'Esplanade, le boulevard des Arènes et la rue Régale, comme un symbole de l’autorité judiciaire en plein cœur de la ville. Aujourd’hui, il ne se contente pas d’être un bâtiment historique : il reste un centre judiciaire actif, traitant des affaires venues de l’Ardèche, du Gard, de la Lozère et du Vaucluse. Pour moi, ce palais représente à la fois la continuité de la justice à travers les siècles et l’évolution de Nîmes, une ville où l’histoire et le présent se côtoient en permanence."

"Jugement rendu d'avance ,le juge c'est contenté de confirmer le premier jugement sans regarder les nouveaux éléments. Justice de puissant contre les misérables"

"Nous avons effectué 2 demandes d'apostille auprès de la cours d'appel de Nimes et nous les avons reçu dans des délais records, en moins de dix jours à chaque fois ! Merci aux membres de ce service pour leur réactivité"